Ce livre est le fruit d’un débat suscité par le centre de recherches politiques de la Sorbonne sur la « crise de l’Etat contemporain ». Il propose une réflexion sur l’angoisse des sociétés devant la perte de leurs repères. La préoccupation centrale de ce livre est de comprendre pourquoi les plis et les crispations identitaires qui se manifestent à travers le monde sont si différents d’un pays à l’autre et pourtant trouvent partout un « terrain fertile ».
Sous la direction de Noëlle Burgi