A vingt ans, l’auteur décide de s’embarquer pour un tour du monde avec pour objectif principal le Japon. Dans les années 1880, environ quinze ans après la proclamation de l’ère Meiji, le pays est dans une période de maturation : plusieurs mesures prises dans les années 1870 ont transformé radicalement la société. Préface de Patrick Beillevaire.
C’est une quête inlassable de l’aventure et du savoir que nous révèle ce message venu de loin. Un livre oublié depuis trois siècles, d’une tombe égarée près d’Ispahan. Mais Ibrahim Beg, gentilhomme angevin, revit pour nous ces étapes quand nous le reconnaissons dans les souks de Tabriz ou d’Ahmadabad, les églises de Mossoul ou de Goa ; quand nous l’entendons converser avec le patriarche maronite au mont Liban, avec Rabi…
Cet ouvrage est la relation d’un voyage de treize mois au Tibet et au Bouthan, effectué au départ de Calcutta, pour le compte de la Compagnie Anglaise des Indes Orientales, dans le but de rechercher de nouvelles voies d’accès commerciales dans ces pays. Bien au-delà du simple journal de bord, les digressions de l’auteur sur l’histoire, la politique, l’économie des régions traversées, et le compte rendu minutieux de ses négociations…
Une négociation délicate menée au XVIIe siècle dans la « Régence barbaresque » de Tunis. Une capitale cosmopolite où se côtoient marchands, matelots, et soldats venus de partout. Les pas de Laurent d’Arvieux le promènent parmi un petit peuple remuant, aux réactions souvent tumultueuses. Témoin privilégié, il dépeint avec verve une société qu’il observe avec intelligence et sympathie. Pour avoir durant de longues années enseigné ou exercé des responsabilités culturelles, « entre le…
Cet ouvrage est la relation d’un voyage de treize mois au Tibet et au Bouthan, effectué au départ de Calcutta, pour le compte de la Compagnie Anglaise des Indes Orientales, dans le but de rechercher de nouvelles voies d’accès commerciales dans ces pays.
Une négociation délicate menée au XVIIe siècle dans la « Régence barbaresque » de Tunis. Une capitale cosmopolite où se côtoient marchands, matelots, et soldats venus de partout. Les pas de Laurent d’Arvieux le promènent parmi un petit peuple remuant, aux réactions souvent tumultueuses. Témoin privilégié, il dépeint avec verve une société qu’il observe avec intelligence et sympathie.