Avant de devenir un auteur à la mode dans les salons parisiens du second Empire, Evariste Huc (1813-1860) a écrit, de Macao et de Mongolie, des lettres pleines d’enthousiasme sur ses premiers voyages et ses premières expériences missionnaires en Asie. Il n’a pas trente ans et déjà se dessine son talent d’observateur et de narrateur. On s’intéresse maintenant, écrit-il, à l’Amérique, à la Chine, au Pôle, … “mais qui songe…
“Enfin, voici un livre qui nous tire du roman et du paravent, et des traductions incertaines! Voici un livre d’observateur sur le vif, de voyageur en dehors des livres, d’homme qui (…) nous apporte sur la Chine un de ces renseignements, éclairés et complets, tels qu’on n’en avait pas revu depuis la publication des Lettres édifiantes.” Barbey d’Aurevilly – 28 Février 1855.
“Enfin, voici un livre qui nous tire du roman et du paravent, et des traductions incertaines! Voici un livre d’observateur sur le vif, de voyageur en dehors des livres, d’homme qui (…) nous apporte sur la Chine un de ces renseignements, éclairés et complets, tels qu’on n’en avait pas revu depuis la publication des Lettres édifiantes.” Barbey d’Aurevilly – 28 Février 1855.